Le soir quand j’ai prie, la Mère de Dieu m’a dit :
« Votre vie doit être semblable a la mienne, douce, cachée, unissez
vous sans cesse á Dieu, vous devez intercéder pour l’humanité et
préparer le monde a la seconde venue de Dieu. » (PJ 625)
Soudain j’ai vu la Mère de Dieu qui m’a dit :
« Oh combien l’âme qui suit fidèlement le souffle de la grâce est
agréable a Dieu ; j’ai donne au monde le Sauveur, et toi, tu dois parler
au monde de sa grande miséricorde et préparer le monde a la seconde
venue de celui qui viendra, non comme Sauveur miséricordieux, mais comme
juste Juge. Oh ce jour est terrible. Le jour de la justice a était
décidé, le jour de la colère de Dieu, les anges tremblent devant lui.
Parle aux âmes de ce grande miséricorde, tant que c’est le temps de la
pitié ; si tu te tais maintenant, tu répondras en ce jour terrible pour
une grand nombre des âmes. N’aie peur de rien, sois fidèle jusqu'à la
fin, je compatis avec toi. » (PJ 635)
Le Mère de Dieu m’a enseigne comment me préparer a la fête de la
Nativité. Je l’ai vue aujourd’hui sans enfant Jésus ; Elle me dit :
« Ma fille efforce toi a la douceur et a l’humilité pour que Jésus
qui habite constamment dans ton cœur, puisse se reposer. Adore-le dans
ton cœur, ne sort pas de ton intérieur. J’obtiendrais pour toi ma fille,
la grâce d’une vie intérieure telle, que tout en restant a
l’intérieure de toi-même, tu puisse accomplir a l’extérieur tous tes
devoirs avec un soin encore plus grande. Demeure continuellement avec
Lui dans ton propre cœur. Il sera ta force ; avec les créatures aie
seulement les contacts que réclament la nécessité et le devoir. Tu est
une demeure agréable au Dieu vivant, dans laquelle Il séjourne
constamment avec amour et prédilection, et la vivante présence divine
que tu ressens de façon réelle et distincte, te confirmera, ma fille,
dans ce que Je t’ai dit. Tache d’agir ainsi jusqu’au jour de la Nativité
et ensuite Lui-meme te fera connaître de quelle manière tu dois agir et
unir a lui » (PJ 785)
Aujourd’hui pendant les Vêpres une douleur me pénétra l’âme….Je suis
comme un petit enfant devant l’immensité de cette tache ( Propager La
Miséricorde Divine), et c’est seulement sur un ordre divine formel que
je procède a son accomplissement, et d’autre part, même ces grandes
grâces me son devenues u fardeau et je le porte a peine. Je vois
l’incrédulité de la part des supérieurs et les doutes de tout sortes et
la méfiance avec laquelle on me traite pour cette raison…Quand par la
suite, je continuais a méditer durant les vêpres sur cette sort de
mélange de souffrances et de grâces j’entendis la vois de la Très Sainte
Mère :
« Sache, ma fille, que quoique j’aie été élevée a la dignité de Mère
de Dieu, sept glaives de douleur ont transperce mon cœur. Ne fais rien
pour te défendre, supporte tout avec humilité. Dieu seul te défendra. » (PJ 786)
J’ai senti aujourd’hui la proximité de ma Mère, la Mère Céleste. Pourtant avant chaque Sainte Communion je prie avec `ferveur la Mère de Dieu de m’aider a préparer mon âme a la venue de son fils et je sens clairement sa protection sur moi. Je La supplie de bien vouloir allumer en moi le feu de l’amour divin telle qu’il flamba de son cœur pur au moment de l’Incarnation du Verbe de Dieu » (PJ 1114)
« Ma fille , je te recommande vivement de réaliser fidèlement tous les souhaits de Dieu, car c’est ce qui est le plus agréable a ses yeux saints. Je désire vivement que tu te distingues par ta fidélité a accomplir la volonté de Dieu. Place cette volonté de Dieu bien au-dessus de tous les sacrifices et holocaustes »
Tandis que la Mère céleste me parlait, une profonde compréhension de cette volonté de Dieu pénétrait mon âme. (PJ 1244)
Fête de l’Immaculée Conception. Avant la Sainte Communion je vue la Très
Sainte Mère d’une incomparable beauté. Avec une sourire elle m’a dit :
« Ma fille sur la recommandation de Dieu, je dois être de façon
particulaire et exclusive une mère pour toi, mais je désire que toi
aussi, tu sois tout particulièrement mon enfant. Je désire, ma très
chaire fille, que tu exerce trois vertus qui sont chères et plus
agréables a Dieu… l’humilité, chasteté, l’amour envers Dieu. En tant
que ma fille tu dois particulièrement brûler par ces vertus. »
(PJ 1415)
Les prières à la Vierge Marie de Sœur Faustine :
O douce Mère de Die,
Sur Toi je modèle ma vie,
Tu es pour moi la lumineuse aurore,
En Toi je sombre avec ravissement.
O Mère Vierge Immaculée,
En Toi se reflète pour moi le rayon de Dieu,
Tu m’apprends comment aimer le Seigneur au milieu des orages,
Tu es mon bouclier et ma protection contre les ennemi.
(PJ 1232)
« O Marie aujourd’hui le terrible glaive pénétra Ta Sainte âme, a
part Dieu, personne ne connaît Ta souffrance. Ton âme n’est pas brisée,
mais elle est courageuse, car elle est avec Jésus. Douce Mère, unis mon
âme a Jésus, car ce n’est qu’alors que je pourrai entourer toutes les
épreuves et les expériences, et ce n’est qu’en union avec Jésus que mes
petits sacrifices seront agréable ;es a Dieu. Très douce Mère,
instruis-moi de la vie intérieure, que le glaive des souffrances ne me
brise jamais. O Vierge pure, verse en mon cœur le courage, et garde-le.»
(PJ 915)